Tout ce qu'on a fait pour notre premier enfant et pas pour les suivants...

24 juin 2018

Si vous êtes parents de plusieurs enfants, vous avez certainement remarqué comme finalement on se détend un peu plus à chaque nouvelle naissance. Non ?

On allège, à fond !

Eh bien, prenez le temps de regarder de plus près.

Les albums photos par exemple. Pour votre premier enfant, vous en avez réalisé un par mois, avec toutes les photos commentées « son premier pyjama », « sa première purée », « son premier pipi au pot »...

                           
                                                  La première fois où il mange ses doigts de pied...

Pour le deuxième vous avez peiné à mettre une année entière de photos dans un seul album et les commentaires étaient plutôt... éparpillés. Alors pour le troisième comment dire ? Vive les sauvegardes de votre téléphone directement sur le cloud ! Quand votre dernier aura l’âge de feuilleter les albums, misez tout sur la modernité de ses parents, quand il est né, les tirages papier c’était ringard !

Même chose pour l’alimentation. Pour le premier, on avait une pression de dingue : tout maison, frais, bio la plupart du temps et surtout équilibré. On a déjà un peu relâché sur les légumes à l’arrivée du second et pour le troisième on n’a pas peur de clamer haut et fort que « de toute façon, l’équilibre alimentaire se fait sur une semaine », toc !

Côté matériel et chargement du coffre de la voiture, plus on a d’enfants, moins on s’encombre! Pour le premier, on prenait absolument tout avec nous même pour une seule soirée chez des potes : chaise haute, lit parapluie, couches (10, on ne sait jamais), gigoteuse, ses trois doudous, sa veilleuse, le baby phone, deux biberons, la trousse à pharmacie... pour le troisième on se rend compte qu’on a oublié le sac à langer quand l’odeur ambiante devient nauséabonde !

Par contre, là où ne rien ne change c’est sur les premières fois ! Là, on pourrait attendre les premiers pas, le premier sourire, les premiers mots de notre quatorzième enfant qu’on serait encore au taquet. Pareil avec la fièvre, ou le moindre rhume, on s’inquiète toujours aussi vite. Enfin presque...